dimanche 28 décembre 2014

Comment Bangkok a manqué ne pas avoir son notoire visiteur (suite et fin)

"Mr Ganon, Jean Frederick asked gate five four. Mr. Ganon, gate five four". Ajoutez l'accent japonais. Pis le fait que je fais partie du 99% des gens qui écoutent pas les messages intercoms dans les aéroports. Et me revoilà dans une situation où j'ai l'air d'un beau cave.



Faut dire que le panneau indiquant l'endroit où je devais aller manquait un peu de limpidité...



En plus, j'ai travaillé fort pour combattre la lenteur du WiFi (gratuit) de Narita afin de vous publier mon dernier billets avec des (quatre) photos.

Anyway, si y'en a un ou deux parmi vous qui se le demandent : Non, je sais pas c'est où que j'ai la tête ! Mais je suis loin d'être nerveux...

Ceci étant dit, y'avait tout un clash entre mon vol Tokyo-Bangkok et tout ceux que j'ai pris par le passé. Niveau bouffe, non seulement c'était bon, mais c'était beau !

Plateau de nourriture, conçu par un ingénieur de l'armée japonaise


C'est beau, le marketing japonais !

Les hôtesses de l'air sont aux petits soins. Elles patrouillent les allées aussi assidûment qu'un Stormtrooper le ferait sur Tatoïne. "Cup of tea, Mr. Ganon ?". "Another pillow, Mr. Ganon ?". "Want to hang out when we land, Mr. Ganon ?". En plus, sont belles !

Bangkok, finalement ! "Hello Mr. Gagnon !". Wow, ils savent mon vrai nom ! Minute, voir. Y'a ben trop l'air fin, lui...

J'avais pris la peine de réserver à UN hôtel à travers mes trois premières semaines : celui à mon arrivée. Je l'avais pris plus luxueux un peu, nouvelle année oblige. Pis là, le réceptionniste, gentil, m'annonce qu'il est sold out. Malgré ma réservation. Mais il me paye le tùk-tùk jusqu'à un autre hotel !



Y'est deux heures du matin. Mon stock est dans une chambre qui se loue également pour des siestes de trois heures. Y'a deux postes de TV, dont un qui passe des films gay 24-7. Pour vrai. Je vais tu changer de place demain ? No way. Le gars ici m'appelle au moins par mon vrai nom. Bangkok, tu m'auras pas !



Publié à 4 heures plus tard : pas de WiFi dans ma minimaliste chambre !

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